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L’abus de drogues et toxicomanie (2/2)

Signes d’alerte comportementale

– Baisse de la fréquentation et des performances au travail ou à l’école ;

– Problèmes financiers inexpliqués, emprunt ou vol ;

– Adopter des comportements secrets ou suspects ;

– Changement soudain d’amis, de lieux de sortie favoris et de passe-temps ;

– Avoir fréquemment des ennuis (bagarres, accidents, activités illégales).

Signes psychologiques d’alerte

– Changement inexpliqué de personnalité ou d’attitude ;

– Des sautes d’humeur soudaines, de l’irritabilité ou des accès de colère ;

– Périodes d’hyperactivité, d’agitation ou de vertige inhabituelles ;

– Manque de motivation ; semble léthargique ou « espacé » ;

– Semble craintif, anxieux ou paranoïaque.

Signes avant-coureurs de l’abus de drogues

La marijuana : Yeux rouges et vitreux ; parler fort, rire inapproprié suivi de somnolence ; perte d’intérêt, de motivation ; gain ou perte de poids.

Stimulants (y compris les amphétamines, la cocaïne, drogue) : Pupilles dilatées ; hyperactivité ; euphorie ; irritabilité ; anxiété ; paroles excessives suivies de dépression ou de sommeil excessif à des heures bizarres ; peut passer de longues périodes sans manger ni dormir ; perte de poids ; sécheresse de la bouche et du nez.

Substances à inhaler (colles, aérosols, vapeurs) : yeux larmoyants ; troubles de la vision, de la mémoire et de la pensée ; sécrétions nasales ou éruptions autour du nez et de la bouche ; maux de tête et nausées ; apparition d’une intoxication ; somnolence ; mauvais contrôle musculaire ; changements d’appétit ; anxiété ; irritabilité ; beaucoup de canettes/aérosols dans les poubelles.

Hallucinogènes: Pupilles dilatées ; comportement bizarre et irrationnel, notamment paranoïa, agressivité, hallucinations ; sautes d’humeur ; détachement des personnes ; absorption par soi-même ou par d’autres objets, troubles de l’élocution ; confusion.

Héroïne : pupilles contractées ; absence de réaction des pupilles à la lumière ; traces d’aiguilles ; sommeil à des heures inhabituelles ; transpiration ; vomissements ; toux, reniflement ; spasmes ; perte d’appétit.

Signes avant-coureurs de l’abus de médicaments sur ordonnance et de la dépendance

Ces dernières années, l’abus de médicaments sur ordonnance est devenu un problème de plus en plus grave, qui concerne le plus souvent les analgésiques opioïdes, les médicaments contre l’anxiété, les sédatifs et les stimulants. De nombreuses personnes commencent à prendre ces médicaments pour faire face à un problème médical spécifique – en prenant des analgésiques à la suite d’une blessure ou d’une opération, par exemple. Toutefois, avec le temps, des doses plus importantes sont nécessaires pour obtenir le même niveau de soulagement de la douleur et certains usagers peuvent devenir physiquement dépendants, éprouvant des symptômes de sevrage s’ils tentent d’arrêter. L’un des premiers signes avant-coureurs d’un problème qui se développe est la prise de médicaments à un rythme plus rapide que prévu. Dans d’autres cas, les personnes commencent à abuser de médicaments qui ne leur ont pas été prescrits afin de ressentir un état d’euphorie, de soulager la tension, d’augmenter la vigilance ou d’améliorer la concentration.

Pour éviter de développer des problèmes avec un médicament sur ordonnance, il est important de le prendre uniquement selon les instructions, d’utiliser la dose la plus faible possible pendant la période la plus courte possible et de parler à votre médecin des autres méthodes de traitement du problème. Connaître les signes de dépendance peut aider à identifier les problèmes liés aux médicaments sur ordonnance à un stade précoce et à les empêcher d’évoluer vers une dépendance.

Signes avant-coureurs de l’abus de médicaments sur ordonnance

Les analgésiques opioïdes : Yeux tombants, pupilles comprimées même dans la pénombre, démangeaisons ou bouffées de chaleur soudaines, troubles de l’élocution ; somnolence, manque d’énergie ; incapacité à se concentrer, manque de motivation, baisse des performances au travail ou à l’école ; négligence des amitiés et des activités sociales.

Médicaments anti-anxiété, sédatifs et hypnotiques : Élèves en état de contraction ; ivresse, troubles de l’élocution, difficultés de concentration, maladresse ; mauvais jugement, somnolence, respiration ralentie.

Stimulants : Pupilles dilatées, diminution de l’appétit ; agitation, anxiété, rythme cardiaque irrégulier, température corporelle élevée ; insomnie, paranoïa.

Lorsqu’un proche a un problème de drogue

Si vous pensez qu’un ami ou un membre de votre famille a un problème de drogue, voici quelques mesures que vous pouvez prendre :

Parlez. Parlez à la personne de vos préoccupations et offrez-lui votre aide et votre soutien sans la juger. Plus la dépendance n’est traitée tôt, mieux c’est. N’attendez pas que votre proche touche le fond ! Donnez-lui des exemples précis de comportements qui vous inquiètent et incitez-le à demander de l’aide.

Prenez soin de vous. Prenez soin de vous. Ne vous mettez pas dans des situations dangereuses. Ne vous laissez pas prendre par le problème de drogue d’une autre personne au point de négliger vos propres besoins. Assurez-vous d’avoir des personnes à qui vous pouvez parler et sur lesquelles vous pouvez compter pour obtenir de l’aide.

Évitez de vous blâmer. Vous pouvez soutenir une personne ayant un problème de toxicomanie et encourager son traitement, mais vous ne pouvez pas forcer un toxicomane à changer. Vous ne pouvez pas contrôler les décisions de votre proche. Laisser la personne accepter la responsabilité de ses actes est une étape essentielle sur la voie de la guérison.

Ne pas…

– Tentative de menace, de punition, de corruption ou de prêche.

– Faire des appels émotionnels qui ne font qu’ajouter au sentiment de culpabilité de l’utilisateur et augmenter sa compulsion à consommer de la drogue.

– Couvrir ou excuser le toxicomane, ou le protéger des conséquences de sa consommation de drogue.

– Assumer les responsabilités du toxicomane, ce qui diminue son estime de soi.

– Cacher ou jeter la drogue.

– Se disputer avec la personne lorsqu’elle est défoncée.

– Prendre de la drogue avec la personne.

– Se sentir coupable ou responsable du comportement d’un toxicomane.

Lorsque votre adolescent a un problème de drogue

Découvrir que votre enfant consomme de la drogue peut générer de la peur, de la confusion et de la colère. Il est important de rester calme lorsque vous confrontez votre adolescent, et de ne le faire que lorsque tout le monde est sobre. Expliquez vos inquiétudes et précisez que votre inquiétude vient d’un lieu d’amour. Il est important que votre adolescent ait le sentiment que vous le soutenez.

Signes avant-coureurs de l’abus de drogues chez les adolescents

Comme pour les adultes, l’abus de drogues chez les adolescents ne se limite pas aux drogues illégales. En fait, les adolescents sont plus susceptibles d’abuser de médicaments sur ordonnance et en vente libre, y compris les analgésiques, les stimulants, les sédatifs et les tranquillisants. Dans de nombreux cas, ces drogues sont beaucoup plus faciles à se procurer pour les adolescents, mais elles peuvent avoir des effets secondaires dangereux, voire mortels.

Bien que l’expérimentation de n’importe quel type de drogue ne conduise pas automatiquement à l’abus de drogues, une consommation précoce est un facteur de risque pour développer une toxicomanie plus grave et une dépendance plus tard. Le risque d’abus de drogues augmente également beaucoup pendant les périodes de transition, comme le changement d’école, le déménagement ou le divorce. Le défi pour les parents consiste à faire la distinction entre les hauts et les bas normaux, souvent instables, de l’adolescence et les signaux d’alarme de la toxicomanie. Parmi ceux-ci, on peut citer

  • Avoir les yeux injectés de sang ou les pupilles dilatées ; utiliser des gouttes pour les yeux afin d’essayer de masquer ces signes
  • Sauter les cours, avoir des notes en baisse, avoir soudainement des ennuis à l’école
  • Médicaments, ordonnances, argent ou objets de valeur manquants
  • Agir de manière inhabituelle : isolement, repli sur soi, colère ou dépression
  • Changements d’humeur soudains ou problèmes de santé répétés, fatigue constante
  • Abandonner un groupe d’amis au profit d’un autre ; être secret au sujet du nouveau groupe de pairs
  • Perte d’intérêt pour les anciens hobbies ; mensonge sur les nouveaux intérêts et activités
  • Exiger plus d’intimité ; verrouiller les portes ; éviter le contact visuel ; se faufiler

7 mesures que les parents peuvent prendre pour réduire la consommation de drogue chez les adolescents

  1. Parlez ouvertement à vos enfants des dangers de la consommation de médicaments, qu’ils soient illégaux ou délivrés sur ordonnance. Un environnement sûr et ouvert pour parler de ces questions peut faire une réelle différence dans la probabilité qu’ils consomment ou abusent de drogues.
  2. Établissez des règles et des conséquences. Votre adolescent doit comprendre que la consommation de drogues a des conséquences spécifiques. Mais ne faites pas de menaces creuses ou n’établissez pas de règles que vous ne pouvez pas faire respecter – et assurez-vous que votre conjoint est d’accord et prêt à faire respecter les règles. Rappelez à votre adolescent qu’il est illégal de prendre la prescription de quelqu’un d’autre ou de partager la sienne avec d’autres.
  3. Surveillez les activités de votre adolescent. Sachez où votre enfant va et avec qui il passe du temps. Il est également important de vérifier régulièrement les cachettes potentielles de drogues – dans les sacs à dos, entre les livres sur une étagère, dans les boîtiers de DVD ou les boîtes de maquillage. Surveillez l’utilisation que fait votre enfant d’Internet pour vérifier s’il fait des achats illégaux en ligne.
  4. Gardez les médicaments sur ordonnance en lieu sûr, évitez de les stocker et débarrassez-vous de ceux qui ne sont pas utilisés. Surveillez attentivement le renouvellement de vos ordonnances.
  5. Encourager d’autres intérêts et activités sociales. Exposez votre adolescent à des passe-temps et des activités saines, comme les sports d’équipe et les clubs parascolaires.
  6. Parlez à votre enfant des problèmes sous-jacents. La consommation de drogues peut être le résultat d’autres problèmes. Votre adolescent a des difficultés à s’intégrer ? Y a-t-il eu récemment un changement majeur, comme un déménagement ou un divorce causant du stress ?
  7. Obtenez de l’aide. Les adolescents se rebellent souvent contre leurs parents, mais s’ils entendent les mêmes informations de la part d’une autre figure d’autorité, ils peuvent être plus enclins à écouter. Essayez un entraîneur sportif, un médecin de famille, un thérapeute ou un conseiller en toxicomanie.

Obtenir de l’aide en cas d’abus de drogues ou de toxicomanie

La dépendance est un problème complexe qui touche tous les aspects de votre vie. Pour vaincre la dépendance, il faut aller chercher du soutien et modifier sa façon de vivre, de gérer ses problèmes et d’entretenir des relations avec les autres. Le rétablissement est à votre portée, mais n’essayez pas de faire cavalier seul ; il est très facile de se décourager et de rationaliser «juste un de plus». Que vous choisissiez de suivre une cure de désintoxication, de vous appuyer sur des programmes d’auto-assistance, de suivre une thérapie ou d’adopter une approche de traitement autonome, le soutien est essentiel. Lisez : Vaincre la toxicomanie.

Si vous traversez une période difficile dans votre vie ou l’un de vos proches est en souffrance ou commence à se faire du mal, vous pouvez nous contacter par téléphone ou e-mail à tout moment pour qu’on puisse vous proposer un thérapeute adéquat.

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Avant le premier entretien

Une petite préparation psycholo-gique et mentale s’impose pour pouvoir établir un climat de
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Psychothérapie au Luxembourg

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Nos interventions sont basées sur l’approche systémique, une approche nécessaire dans ce type d’intervention. La thérapie de couple est un moyen de résoudre les problèmes et les conflits que les couples n’ont pas été en mesure de gérer efficacement par leurs propres moyens.

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